Quand tu seras vieille, les cheveux grisonnants
Que tu pencheras la tête près du feu grésillant
De tes yeux fatigués, de leurs ombres profondes
Tu parcoures ces vers, tes pensées vagabondes
Combien ont aimé tes moments de grâce joyeuse
Et apprécié ta beauté d’un amour bienveillant
Un seul être pourtant sait ton âme voyageuse
Et aime les chagrins de ton visage changeant